Répudiées par leurs maris et bannies de leurs communautés après avoir été violées par des soldats britanniques, des femmes kenyanes ont créé leur propre village. Fous de jalousie, leurs anciens maris les traquent. Documentaire et débat dimanche 8 mars au FIFDH à Genève.
"Dans la communauté Samburu, c’est toujours la femme qui travaille beaucoup. Elle se réveille tôt, vers 3 heures, elle travaille toute la journée et se couche tard vers 23 heures. L’homme, lui, dort quand il veut et autant qu’il veut. A son réveil, il réclame son petit déjeuner, sort éventuellement le bétail de l’enclos et va dormir sous un arbre. Le reste du temps, il joue avec ses amis, exige qu’on lui apporte la nourriture là où il se trouve. Après il dort, et de nouveau il demande de la nourriture. La femme fait tout, mais rien ne lui appartient. Parfois elle n’a même pas le droit de manger."(à lire sur Rue 89)
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