« Pour la Science » de Novembre 2018 : «Ce qui distingue Sapiens des autres animaux », quand des Scientifiques marchent sur un chemin déjà ouvert depuis…

Dans ces pages du magazine «Pour la Science» de novembre 2018, les rédacteurs des deux premiers articles du dossier «Ce qui distingue Sapiens des autres animaux» sont deux professeurs d’Université, le premier, de biologie évolutive et du comportement, le second, de psychologie. Dans l’un et l’autre de ces textes, il s’agit de penser les capacités biologiques, vitales, en particulier, animales et humaines, placées dans un face à face, afin de comprendre les caractéristiques communes et les caractéristiques spécifiques. Pourquoi sommes-nous ce que nous sommes (identité) et pourquoi d’autres sont ce qu’ils sont en n’étant pas comme nous sommes (identité/différence) ? C’est pourquoi il y a une tension entre le fait que les auteurs, notamment le premier, parle de l’espèce humaine comme une espèce, donc, parfaitement comparable à d’autres, notamment les singes et les oiseaux, et en même temps, comme étant à part, ce qu’un courant de pensée mondial, notamment européen, occidental, a longtemps répété. Pour traduire, nous sommes donc des animaux, mais des animaux originaux, uniques, parce que nous avons développé des capacités spéciales, rares, puissantes. Pourquoi, comment ? Dans le premier texte, l’auteur insiste sur le rôle de l’imitation, en tant que loi de l’apprentissage, humain comme animal, mais sans insister ni développer sur la création du modèle, source de la reproduction par les autres. Car si «les exploits de l’humanité résultent de notre aptitude à acquérir des connaissances et des aptitudes d’autrui», encore faut-il que, «autrui» ait déjà développé des connaissances et des aptitudes à transmettre ! Et quand nous n’avons pas sous les yeux de modèle ou d’exemple, comment faisons-nous pour inventer une proposition pertinente ? Quand l’auteur du premier article pose que «être pourvus d’un gros cerveau, d’intelligence et du langage ne nous a pas amenés à la culture, c’est plutôt l’inverse qui s’est produit», est-ce qu’il le démontre dans son article et comment il explique les conditions de possibilité de cette «culturaction» humaine ? La définition de la culture qu’il donne, «ensemble des comportements qui sont partagés par les membres d’une communauté et qui sont socialement transmis», est intéressante, mais c’est celle que Hegel donne déjà dès sa première œuvre, la Phénoménologie de l’Esprit, avec «la communauté éthique», éthique dans le sens grec du terme, ethos, les comportements. Avant d’en revenir à cette question culturelle, l’auteur donne dans la comparaison animaux/humains, et ce afin d’établir que, dans un premier temps, la loi de l’apprentissage, l’imitation, est omniprésente dans le champ du vivant, et singulièrement dans les espèces à gros cerveau, les espèces sociales. Un long développement est dédié à établir que l’enjeu de la sélection naturelle serait de favoriser l’apprentissage social qualitatif, pour bien copier, ce qui se distingue du fait de copier. Dans la foulée, l’auteur rappelle qu’un constat scientifique concernant ces espèces sociales, c’est le lien entre quantité et qualité, notamment dans le nombre social, la démographie : plus un groupe est constitué de membres, plus il y a, à priori, d’échanges entre ces membres, et plus ces échanges favorisent et imitation et… innovation. Au moins, on peut considérer que cet argument est heureux, dans la mesure où il permet de contredire toute logique malthusienne. Et pour le développement de notre espèce, de nos capacités et compétences, la variété alimentaire apparaît comme déterminante. Mais après avoir déterminé des conditions idéelles (cognitives, favorables à l’imitation, apprentissage), et matérielles (l’alimentation), on tourne en rond entre ce qui est premier et second, etc, entre l’entraînement culturel et la taille du cerveau, mais si on tourne en rond à ce stade, c’est que depuis le début de l’article, il en allait de même. Aussi, parce qu’il faut bien avancer, parce que l’Histoire est cette addition de moments, temps, où on passe d’un état connu à un état inconnu, par le cumul de nouveautés, l’auteur en vient à préciser que ce qui aura été déterminant dans notre Histoire, c’est que nous avons trouvé des moyens pour cumuler, accumuler, des informations, des données, des connaissances, par une transmission «précise». Et cette transmission précise porte un nom déterminant dans notre Histoire et notre présent : l’enseignement. Et la condition de possibilité de cet enseignement est le langage, ce qui transporte d’une conscience à une autre une somme d’informations. Parler a tout changé. Ecrire a tout changé. Ces conditions/moyens ont rendu possible une «coopération à grande échelle», avec des «interactions (…) au niveau d’un groupe entier.» A quoi aboutissons-nous ? «(…) les recherches sur l’évolution cognitive humaine nous dépeignent comme des êtres qui sont en partie le produit d’eux-mêmes» ! La conscience est… créatrice, «formatrice», puisqu’elle permet d’enseigner à d’autres, mais aussi de s’enseigner à soi-même, de faire des choix qui nous modifient. Hélas, pour expliquer cette possibilité et réalité de l’évolution individuelle comme collective, l’auteur utilise une représentation métaphorique, pour signifier un déjà-là, investi par nos ancêtres, «nos ancêtres investissaient constamment de nouvelles niches», alors que toute la question est de savoir si la «niche» investie par nos aptitudes mentales existait préalablement ou a été créé. La conclusion sur «notre capacité à penser, à apprendre et à contrôler notre environnement» qui «nous rend vraiment uniques et différents de tous les autres animaux» laisse rêveur, dans la mesure où cette affirmation aurait pu faire le commencement, et où nous ne sommes guère avancés dans la connaissance de soi s’il s’agit de poser que, pour expliquer la pensée, il faut savoir que nous pensons… La logique implicite de ce discours est idéaliste, dans la mesure où elle ne traite pas, concernant l’intelligence humaine, de ses limites, de sa lenteur, de ses échecs. Cet idéalisme/narcissisme s’exprime dès le début du premier article par le passage sur «l’impact de notre espèce est mondial : chefs d’oeuvre artistiques ou architecturaux», et ce, très curieusement, dans une époque où, précisément, l’impact humain est, enfin, évalué par les humains, principalement en tant que négativité(s), avec «l’affaire du siècle», le réchauffement planétaire/climatique, la serre anthropologique. Cet idéalisme/narcissisme se répète quand l’auteur évoque le cerveau humain, «chef d’orchestre d’une créativité sans limites et d’une culture généraliste», sans travailler le taux d’échec de ce «chef d’orchestre», apparemment plutôt élevé. Le second article prolonge celui-ci en apportant notamment deux perspectives majeures concernant notre divergence/différence avec le monde animal, à savoir que nos cognitions reposent sur une «capacité à élaborer mentalement des scénarios» et notre «propension à échanger nos pensées avec les autres». Or, si ces deux perspectives sont réelles, exactes, majeures, ce qui nous intéresse, c’est ce qu’un Kant aurait appelé «les conditions de possibilité» de cette capacité et de cette propension. Ce qui est intriguant comme fascinant dans ces deux textes, et notamment dans le premier, c’est la superbe ignorance avec laquelle la pensée philosophique, avec «l’oeuvre» platonicienne (les Dialogues, comme l’école, l’Académie), est ignorée, alors que celle-ci a déjà exprimé l’ensemble de ces éléments, principes. C’est en effet jusque là qu’il faudrait remonter, et pas
seulement à ce Darwin et à sa symphonie inachevée. Dans cette praxis/oeuvre platonicienne, qui a changé irrémédiablement le cours de l’Histoire des peuples de l’Europe, la transmission faite ou à faire entre des savants/des compétents et leurs fils, leurs enfants, est un problème fondamental, si ce n’est le problème, à partir du constat de l’échec de la transmission «naturelle», du père au fils. Pourquoi le fils de Périclès n’est-il pas aussi génial que son père ? Cette praxis a pris corps dans des Dialogues (vous avez parlé de la communication avec autrui?), et dans la première école de l’Histoire humaine, l’Académie (vous avez parlé de l’enseignement, fondamental?). Dans l’un des Dialogues, Politeia, «la République», Platon fait exprimer par Socrate une alternative, un scénario extraordinaire, une «cité idéale», avec des gardiens, incorruptibles, et, de cette projection d’une absolue alternative, il en donne les motifs, les moyens, les avantages. Si, depuis 2500 ans, la praxis socratico-platonicienne a changé l’Histoire, en devenant une part structurelle et fondamentale du monde dans lequel nous vivons, comment comprendre l’ignorance et la surdité à l’égard de ce scénario alternatif, alors que nous ne cessons de buter sur des problèmes qu’il a déjà traité et auquel il a déjà apporté si ce n’est des solutions, à tout le moins des perspectives de solution ? ! Pourquoi faudrait-il qu’une partie de la science psycho-cognitive soit «condamnée» à … imiter ce que d’autres ont déjà dit, alors que nous avons tant besoin… d’avancer ? !

CEQUIDISTINGUESAPIENSDES

 

0 0 votes
Évaluation de l'article
S’abonner
Notification pour
guest
31 Commentaires
Le plus ancien
Le plus récent Le plus populaire
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
moustik2
moustik2
6 années il y a

prenons ce simple détail la transmission entre pére et enfant ou l inverse ,comment transmettre et dans quel proportion ,seul le « fou  » éssaie de comprendre son interlocuteur ,de multiples paramétres évitent l incident de conflit nécéssaire qui serait une simple compréhension pour avoir un aboutissement seulement primaire ,car méme le singe ou le gorille avec ses rudiments géométriques est peut étre plus créatifs que nous dans sa stagnation ,il enseigne l art primitif ,alors que nous ne sommes que peut étre un semblant « de gens civilisé  » qui pense convaincre le monde ……..

moustik2
moustik2
6 années il y a

biologie évolutive du comportement ,on peut admettre que l étre humain à une carence de révision intellectuelle dans son apprentissage alimentaire ,l habitude lié avec une convoitise ordinaire entre autre ,il ne pense pas que les étapes font évoluer le corps dans sa noble proportion admissible avec abondance a l àge indigne par besoin vitale et que les aléas de la vie ,l anémie conjoncturelle couplés avec d autres facteurs gravitationnels et environnementals d exemples d opulences le font naviguer en dehors de sa structure métabolique ,une alimentation en surabondance et de mauvaise qualité (l habitude de multiples effets paradoxales qui le déstabilise inconsciemment ,l effet ordinaire objectif de consertation visuel dans son monologue habituel d habitude ,une forme de convoitise qui pense restructurer l égaux ,une forme de nécéssité vitale d éxister « l exemple  » est modeste ……..

moustik2
moustik2
6 années il y a

la référence éxistente est importante pour se situer dans le rapport « aux autres  » se construire pour construire le rapport et les aptitudes de décences qui favorise l émergence de la réfléxion ,comment se situer lorsque le tableau évoque la précarité de toutes dimensions ,une forme de misére régréssive avec ses décadences et ses déviences intellectuelles ,(l opulence dans son paradoxe peut désigner une misére réelle ,une objectivité réelle est nécéssaire pour comprendre que l on peut construire la misére par convoitise et médiocrité ) ……..

moustik2
moustik2
6 années il y a

« controler notre environnement  » imposer une forme de complexe qui n a d égale que l intelligence humaine ,car le petit doit étre petit et le grand doit sentir qu il éxiste pour faire éxister les autres  » ,, éxister ! le grand n éxiste que parce que «  »il est «  » , l empereur n a nul besoin de sacre en son domaine (exemple napoléon ) ,la poule ne fait guére d émule je me suis toujours posé la question à propos de cette conception si complexe ……… controler la folie est un non sens il faut l accompagner dans le chemin de  » l étude ordinaire » …

moustik2
moustik2
6 années il y a

ce qui différencie l humain des autres éspéces c est son investissement spéculatif discret en exemple les trois quart des foréts appartiennent à des privés chanpionne de france au palmarés : la caisse des dépots 150 000 hectares ,autres gros propriétaires :société générale 30 000 hectares ,axa 22 000 hectares ,crédits agricoles 12 000 hectares ,,de nouveaux investisseurs apparaissent comme le groupe louis déyfus et un oligarque russe …. il faut comprendre l investissement comme un livret de caisse d épargne outre le résineu qui n est guére combustible (voir dangereux en raison des tanins etc…..)pour le chauffage ,il faut préférer l accacias en forét car il repousse tout seul en peu d année ,c est un investissement productif surtout lorsque l on laisse les coupes à la pluie pour les laver des substances néfastes ,la propriété privé à une valeur de stabilité mentale avec peu d apport .

moustik2
moustik2
6 années il y a

l homme pauvre démontre encore son intelligence face à « l ouligarchie d habitude » en quelque sorte sa superiorité face à la misére pour comprendre entrez : vidéo réparer une carosserie avec de l eau bouillante et une ventouse pour déboucher les wc ,on peut étre bleuffé par les économies à envisager…………….

moustik2
moustik2
6 années il y a

« éthique » pour étre et faire éxister il faut prendre acte des nécéssités réelles et de l opposition mesuré ‘l intelligence se mesure par la capacité de cohérance dans la construction de l oeuvre qui profite ,l oeuvre « normalement » est simple mais sans multiples concertations tenant compte des paramétres de décence « ordinaire » ,ce qui est tolérable dans l éxigence sachant que l éxigence primaire de nécéssité ne refléte peut étre pas la réalité ,la réalité est la nécéssité primaire et ordinaire qui faute de transmition perd l état de validité ,la problématique se situe dans faire éxister dans la dignité ,pour prétendre cette conception ordinaire il faut s instruire de ce qui parait étre digne pour « le pauvre » ,l arogance ne permet pas d accéder mais pour accéder il faut étre arogant dans ses cultures de constructions……….

moustik2
moustik2
6 années il y a

« l étre supérieur  » et son complexe d infériorité ,il ne parle méme pas en cohérance avec son statut et ses convictions il divague dans d autres connaissances (est ce qu il se comprend dans son interractivité ) la personne vient me parler ,elle me postillionne a la figure par logique je monte sur le trotoir pour éviter les microbes ,pourquoi elle monte sur le trotoir ?,parce que je suis devenu plus grand etc… ce qui est logique j ai dorénavant une hauteur de trottoir de plus ,son probléme fondamentale éxistentiel est la convoitise pas de moi des inégalités sociales des autres dont la personne prétend en connaitre la réelle misére pour ne pas étre un étre dégradé dans sa valeur car elle pense ne pas étre la rémunération de sa propre valeur ,c est une forme de dépréssion faute d avoir vu la réelle misére d éxistence et d argent de gens qui éxistent des gens discrets car orgueilleux de leur peu ,il ne convoite que la dignité etc……….

moustik2
moustik2
6 années il y a

cnp assurance esr propriétaire de 3000 hectares sur le plateau des milles vaches ,l investissemernt est correcte altitude 500 à 980 m ,car les grands axes sont en chantier la restructuration dynamique et énergique( ,posséder un petit bout de brousse et une cabane en bois l homme devient orgueilleux et il fait le tour du propriataire avec arogance )cnp est le premier propriétaire forestier francais avec plus de 50 000 hectares ……………

moustik2
moustik2
6 années il y a

l oppression caractérisé avec une grande décence pour la dignité et l assurance de la personne physique et morale ,l assureur pense avoir bien vendu son produit et que le produit est optimale dans ses multiples rendements et que le placement est un « muste » je prétends que l incident mineur qui a créer l anxiété mais que la dignité éffective du consomateur à limité dans sa propre projection d identification ,le produit n obtiendra jamais le maximum de rentabilité la cause est l arogance de croire que l incident ne rend pas malade et le pire c est que la technique à été pensé psychologiquement le top , l aspect et la répercution manque de travail pour étre optimale …….

moustik2
moustik2
6 années il y a

le role de l imitation en tant que loi de l apprentissage , l intérét financier modifie tout les paramétres et les contextes , l illusion ne permet plus une transmition saine ,la réalité est travesti donc elle perd sa valeur royal ,le lobi qui prétend penser et former des maitres de conception doit revoir une autre stratégie de c,onceptions ,son intention est peut étre louable car il faut savoir que les affaires sont éxctrémement dfficiles ,éfficacité de l entrprise pour perdurer la bonne volonté et l effort ne suffit plus ,il faut le produit au top fabriqué avec des farines élaborés ,est ce que l industriel se pli a d autres lois de temps pour former ses apprentis pour le produit fini qui correspondd a cetter raison qui est la réglentation et le droit du travail ,dans tout les cas l incident empéche l réfléxion ,on porrait dire que l industriel forme des boulangers pour parer aux multiples caences du systéme ,voyant les chiffres c est modeste ……….pas assez pointu dans le produit il faut trouver les collaborateurt pour innover

moustik2
moustik2
6 années il y a

on peut le distinguer de part son humour (dieudonnée est un humouriste professionnel ,c est un exemple )pas plus tard que hier un professionnel de l immobilier m a dit que le métre caaré agricole était à 0 eruros 20 centimes le métre carré alors que j ai acqui mon terrain en friche il y a trente ans pour 2 francs le métrer carré ,c est un peu comme le livret de caisse d épargne des petits porteurs a servi à relancer l industrie du batiment pour les rologer dans des appartements dignes (loi de décence 2002) ,il ne s agit pas d avoir un bel appartement neuf et rien a manger dans son assiette et un livret de causse d épargne à perte ,le droit de préemption de la safer c est pour éviter la spéculation anarchique et donner les avantages du à l agréculteurs (aprés guerre les gros propriétaires terriens préttaient de l argent aux petits agréculteurs qui n arrivaient car avoir de prét auprés des banques pas assez de terres ) c est un peu comme qui subventionne les offices hlm et commmenr d ou la nécéssité de démonter que l étre humain n est pas assez instruit , l homme a inventé le nantissement pour imager , le packetje en assurance pour l assuré .

moustik2
moustik2
6 années il y a

françois 1 er 1937 avec fernanfel en vidéo ,vous pourrez savoir comment est né l emprunt d état ,muni de son larousse il indique que lorsque que l état n a plus d argent il lance l emprunt d état et lorsque que l état ne peut plus remboursé il dit au roi lancé un nouvelle emprunt pour pouvoir rembourser le précédent (avec mon petit fils nous faisons du petit théatre en commencent :les phrases célébres du marquis de la palice ,la phrase doit se dire avec le coeur et l émotion « (c est la phrase )acte 1 « toute vérité n est pas bonne à dire aahh ahhahhh le ah donne la valeur de la prestation sans le ah on ne peut ressentir l émotion de l interrogation , jule le fantome recherche une lampe de poche car dans les catacvombe du chateau il n i a pas d oxygéne ,l hérétique ou le diable démasquer est soumi au torture de la chévre qui lui léche les pieds enduits de sel ,l entenoir a vinasse ,la torture d antan , l étre humain a besoin de rire des absurdités simples et subtiles ,l auberge rouge ce sont des comtes à regarder au coin du feu alors que des bourasque de neige dhante au dehors , »l ambiance fome vidéo » ;

moustik2
moustik2
6 années il y a

l intérêt du lobby est une valeur sûre lorsque les conditions du produit fini n’est pas soumis aux aléas démocratiques , démocratiquement exige l intérêt et l approbation des petites gens ,la démocratie n est pas que politique ,exemple le plus concret pour vendre un produit il faut être au top du moyen pour l objectif soumi au élucubrations de la démocratie ordinaire (simple internet) !le pain?

moustik2
moustik2
6 années il y a

je pense que le pain est la premiére démocratie spéculative avant la libéralisation des prix sur le marché français (environ 30 ans ),ce qui donne recours à toute les compétitions anti démocratiques car la transmition n éxiste plus ,l heure est à la liberté des prix et aux multiples cadrages de la haute société qui crée par ignorance sa misére de valeur , la valeur étant normalement la valeur copié qui sert de référence car l exemple n a nul besoin de publicité « internationnale » ,l exemple étant la qualité irréprochable de conséquence le must ((comme je dis a mon petit fils car nous disons la phrase du marquis de la palisse « toute vérité n est pas bonne a dire ahahahah! » ) , anti démocratique c est fixer les salaires et les heures a la baisse sans tenir compte de la nécéssité de la fabrication et de ses répercutions outre financiére et de qualité primaire ordinaire qui devait étre transmi de conséquence mémme l ouvrier peut voter son désaventage sociale sans le savoir et »l ordre spéculative  » en subir les conséquences car son premier intérét est immédiat il ne pense pas un seul instant décadence globale ,la décadence est aussi démocratique car l « industriel » est petit dans son concepte et ses éxigences ..

moustik2
moustik2
6 années il y a

le paradoxe de l industriel étant que l état dans la compétition des prix lui indique sa gestion (toute les conséquences sont permises ) si vous voulez l industriel va concentrer ses efforts sur un faux combat mais pas sur la réalité des marchés de la petite démocratie ,ce n est pas de la politique c est juste de la logique de répercution ,l ingérence qui me questionne en exemple c est l ingérence qui dicte comment faire et qui ignore tout mais qui sait .. n oublions pas les salaires et ses trajectoires de consommation ordinaires et l aspect psychologique de tous les acteurs ………

moustik2
moustik2
6 années il y a

avoir développer des connaissances à transmettre , c est complexe car si l intérét simpliste à court therme prime sur la valeur initiale sans concertation hautement et petitement philosophique des fondammentaux (mauvaise spéculation d intérét ) la précipitation ,l ordre du jour oublie et oubliera la qualité qui fait prospérer ,le paramétre indispensable à une stabilité de rentabilité et de conséquence a une spéculation intelligente … le devancier peut aussi oublier ses prédécesseurs car son bezeur est devant lui ,il a ses habitudes ses rituelles intelligents hautement techniques ,il est formaté pour gagner avec des carences qu il ignore dans ses méthodes ,(la poule a besoin de blé et d épluchure et de mie de pain trempé dans de l eau propre ,on peut parler avec une poule elle écoute etc.)la volaille est attentive lorsquelle a son repas et heureuse

moustik2
moustik2
6 années il y a

on peut penser que seul le riche mange du bon pain en payant cher ,c est une question d endroit géographique et d aptitude ,la disparité éxiste dans toute les sphéres sociales , la sphére sociale est complexe on peut admettre que l erreur éxiste car l inaptitude philosophique est un héritage ,on ne pense pas car on « est » une aubole par ci par la et la conscience est sauvé , l étre est digne et respectable ,nul besoin de faire semblant car l étre éxiste dans ses héritages non falsifiés » authentiques » est le mot …..

moustik2
moustik2
6 années il y a

pour vendre un produit à l exportation ( une idée ) car le produit n est pas une obligation de désigner une matiére produit fini etc …..un produit fini d éxcéption fait acquérir une stabilité de répercution (un équilibre global ) ce qui veut dire que l effet consenti permet de penser à d autres investissements intéréssants pour une spéculation ,pour évoluer dans la prospérité déja plus que relative il faut s entourer des méilleurs produits qui répondent à la démocratie du peuple (on peut avoir envie de manger par insatisfaction chronique ) donc on ne fait que consommer ,l équilibre de l étre reste à enseigner …….

moustik2
moustik2
6 années il y a

le conflit d intérét qui » semble étre  » plus le conflit de l inaptitude de transmettre le savoir ,on ne s improvise pas bien que de grandes gens pensent avoir eu l « idée » déterminente par obligation ,l obligation de compenser les carences dont il sont la construction ,le spécialiste restant le spécialiste et le démonstrateur n étant que la démonstration de l art (artiste) ,exemple un démonstrateur de four pavailler démontre uniquement la qualité du matériel et de l usage ,le reste étant livré à la qualité de savoir faire du maitre (comme disait mon patron d apprentissage un mauvais ouvrier a toujours de mauvais outils ) il est le paradoxe de toutes les situations car chez ces gens la on doit tout savoir faire méme avec rien etc ….un minotier doit savoir que la farine de qualité est certainement un plus mais que l oeuvre finale reste au maitre boulanger et que l investissement doit étre prolongé dans le temps pour une qualité irréprochable et de conséquence une matiére spéculative peu ordinaire ,la conséquence est la perte séche qui ne se voit pas ,la décadence EN CASCADE DE L AGROALIMENTAIRE DANS SES MULTIPLES diversités ,les chiffres ne parlent pas d énormes profits voir une stagnation invisible ,le bio ne résoud pas tout les problémes c est un autre sujet complexe ou l éxtréme doit étre attentif et vivre dans la réalité (de la farine bio avec de l acide ascorbique éxistait ) le procés ne sert pas la réfléxion

moustik2
moustik2
6 années il y a

la démocratie une illusion ,une pale interrogation qui éxige l investissement du « notable » n est pas notable qui veut celui ci doit étre avisé pour les circonstances qui sont du et indu à son encontre car l homme est grand d illusion faute de connaissances des petites gens bien nourri et éxigeant ,il peut rechigner car il ignore jusqu a l aspect de la porcelaine ,son lave vaisselle n est pas conçu pour la satisfaire ,la main est habilité mais d un autre temps ,,,,le pain n est qu une illusion démocratique ou un semblant de statut sociale méme le pauvre peut étre mieux nourri avec peu car son intelligence et sa réfléxion modeste n éxige pas avec l arogance de la castre supérieur qui n a aucune prétention (celui qui vit dans la brume de ses délires perd la priorité de ses objectivités nécéssaires et primaires ) ……le pain est un produit complexe et les prix reflétent une compléxité paradoxale d éxigences multiples ignorés car  » étre ! » ne se discute pas ,l éxigence est du (MONSIEUR BREL le disait :plus on devient vieux plus on devient )……

moustik2
moustik2
6 années il y a

une compétence n ‘est jamais acquise ce qui veut dire que l on ne peut s assoire dessus avec dignité et triomphalisme ,la compétence qui signifie ses acquis peut prétendre s éxporter à l étranger ,nous avions acquis ponctuellement cette prétention avec le pain et d autres secteurs d activités ,pour avoir un minimum de compétence les investissement doivent étre sérieux ,l étre n évolue pas sans considération ,la problématique se situe dans les priorités que l on pense honorablement sans faille sur une longue période ,les carences de transmissions énormes , l équilibre financier seulement à partir de cette base qui est le pain pour des raisons morales financiéres éthiques etc… de répercution globale invite à la médiocrité , l aliment consommé de faute qualité invite inconsciemment a se surpasser ,une société médiocre n invite qu a la médiocrité par habitude et rituelle de décadence , la démocratie est une famille qui ouvre ses portes ………..

moustik2
moustik2
5 années il y a

l assurance est subtils,le prêt à la consommation est l œuvre de l organisme bancaire qui octroie l assurance pour garantir à juste titre les désagréments qui pourraient grever ses bénéfices.il faut penser pourquoi et pour quel aléa je suis assuré en exemple en cas de décès accidentel seulement ‘ la protection est restreinte limité dans ses répercutions ‘ce qui veut dire que un engagement sur 20 ans ou plus à un crédit non.couvert et de la sorte peut être un catastrophe financière si le risque n est pas écrit sur le contrat d assurance ( il est facile de couvrir pour un risque.le manuscrit type. )ce que j avais constaté c est que le risque stress post-traumatique avait été enlevé des closes contractuelle

moustik2
moustik2
5 années il y a

l homme est modeste les boulangeries fleurissent comme des champignons , plus il y a , moins il y a à manger pour tous le monde ,j ai récement vu une nouvelle maniére d enfourner le pain l aprés est inutile (lever) la planche est intile à l aide des 2 mains on dépose habillement sur le tapis automatisé avec délicatesse petite parenthése (lorsque j éxplique oralement mes dires ne sont que hallucinations affabulations etc pas besoins d anti dépresseurs , lorsque l on travail 15 heures pae jours on est toujours joyeux ,comme le disait mon patron d apprentissage si on te demande ce que fait tu dois répondre je m amuse ) le travail c est la santé des charlots c est un plus………..

moustik2
moustik2
5 années il y a

la gravitation de l intérét ordinaire mais référent dans la matiére qu il sublime par arogance ce qui est la nature indispensable du narcissique objectif et réaliste puis spéculatif sans intérét car il est digne dans son arogance « l homme » ne peut se baisser car il outrepasse consciemment sa dignité il » est  » dans sa folie ordinaire un anarchiste révolutionnaire car l étre n est pas éxacerbé dans sa réfléxion constructive faute d argent seul les  » dingues » aimeraient avoir une répercution logique et mathématique ,la logique est simple elle écarte l intérét financier pour pouvoir mieux se l approprier ,le produit doit satisfaire le plus grand nonbre de gens ordinaire et simple c est cela la « démocratie  » de l abruti ordinaire « ……….

moustik2
moustik2
5 années il y a

avant de prétendre comprendre et d étre l « anarchie » par respect il faut savoir que les prédécésseurs ont éxistés et fait oeuvre pour arriver a ce si peu ,il faut mesurer l oeuvre objective , qui n avait pas de temps pour se gratifier dans sa précipitation d urgence du nécéssaire (la révolution du roi conscient) ……..la précipitation est complexe dans ses analyses ,guérir est il son paradoxe ?

moustik2
moustik2
5 années il y a

l avantage démocratique de l homme modeste et peu intelligent malgré lui car la  » logique du parking goudronné  » veut que les émanations d eau de pluie ne peuvent remonter sous le chassis (corrosion) et de plus infiltration dans le circuit d allumage de vapeur condensé filtre a air ,téte de delco etc c est un exemple car l éléctronique ne marche pas avec l humidité infiltré (fermeture des portes sans avoir télécomandé la fermeture ,ce qui éxplique bien souvent une mauvaise carburation entre autre ,un déficite a long therme économique dans une conjoncture économique progréssant vers le misérabilisme , (le véhicule du gens aisé garé outre la modestie ordinaire peut étre humide avec ses décadences ).

moustik2
moustik2
5 années il y a

l altération des bénéfices est la conséquence directe de l ignorance d une progression hasardeuse avec toutes les répercussions financières que d autres subissent faute d études de tout les sujets afférents a une logique spéculative harmonieuse qui progresse dans le sens indiqué (la cohérence parfaite des fabrications .la fabrication usuellement défini les produits et la manière intelligente qui fait progresser.il n existe pas un thème mais la coordination des thèmes qui enrichit la prospérité des individus,la transmission doit avoir fait la synthèse de ses acquis et réprouvé ses fausses notes,elle doit s ingéré dans ses propres erreurs,pour éviter les transmissions hasardeuses et la répercussions des erreurs ou la logique est inexistant e ,le rien etc…

moustik2
moustik2
5 années il y a

la démocratie c est le contraire de l impression anarchique des usages ordinaires dans leurs gestions ,l usage est multiple car les logiques interractives sont une obligation en therme de résultat , la spéculation élogieuse n est que le résultat de ces affirmations ou le droit est une réciprocité , étre multidisciplinaire avec l intention de comprendre ( hors de ses usages d habitudes qui pensent que le profit ne se résume car il « est » l étre pense car il a une éxistence qui le résume )etc……..

moustik2
moustik2
5 années il y a

un produit d appel qui ne sert plus l oeuvre spéculative qui génére des profits et ses cascades de divergences nécéssaires , un produit d appel ne peut étre médiocre car il génére par habitude la médiocrité enseigné ,la morale l hétique etc gravitent intellectuellement autour de ce fondamental de référence de maniére inconsciente ,la proportion utile est égaré par habitude et complaisance , c est une maniére de dire que la base simpliste sert la réfléxion et les résultats ,la décadence ne sert que sa démocratie et ses revendications légitimes (le repére ,comment se servir d un repére qui est travesti par une réalité entre autre la compétition , le profit , méme le profit peut étre une illusion on peut travailler a perte pour acquérir des parts de marché ,la liberté  » d étre miséreux  » une nouvelle démocratie …….

moustik2
moustik2
5 années il y a

la répercution d enseignement et de transmition d « habitude » car l étre prends ses repéres dans l éloge sans disernement qu il pense éfficace ,il en résulte au bout de quelque décénie un oublie de pourquoi et comment la base ancestrale s est évaporé ,elle était l indispensable pour éfféctuer des rotations intelligente afin d améliorer le produit ,(améliorer peut étre le paradoxe dans le résultat escompté et de fils en aiguilles une médiocrité décadente s installe )diversifié peut étre la conséquence de cette état mal géré ,le profit le bien étre ,l intérét et surtout la preuve peuvent étre le mécanisme qui engendre cette habitude ,le diplome ne prouve pas la bienveillance à l égard de ce qui fut enseigné sinon de se « poser avec la dimension  » une dictature, une sorte de « folie » pseudo névrotique ,car l esprit na pas analysé l incident majeur , (l exemple on peut prétendre que la polémique et l esprit d annimausité malsain questionne inutilement ,comment peut on prétendre modifier la teneur du sel dans la panification sans bousculer le résultat dans son fondement et ses résultats et ses répercutions et comment prétendre que la chaine intellectuelle ne perde pas pied seulement avec cette incident mineur ,cela peut paraitre banal mais l habitude devient vite une « loi » qui oublie de penser etc…….

Translate »
31
0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x